Comment continuer d’aménager et construire avec la mise en oeuvre de la sobriété foncière ?
La lutte contre l’artificialisation des sols est désormais traduite dans la loi avec l’objectif de diviser par deux le rythme de « consommation » du foncier (agricole, naturel ou forestier) d’ici à 2030 puis d’atteindre le « zéro artificialisation nette » en 2050.
Cette obligation entraîne des conséquences sur les possibilités d’aménager, construire qui doivent se réorienter prioritairement sur du foncier déjà urbanisé. Les friches, délaissés, espaces sous-densifiés constituent désormais la réserve quasi-exclusive pour porter des projets.
Si les décrets d’application de la loi sont en cours de définition, la logique de sobriété foncière est en marche et déjà intégrée par les services de l’Etat (notamment dans l’hypothèse de projets soumis à autorisation environnementale qui impliquent la démonstration du besoin d’extension foncière).
Sur la base de nos échanges avec les collectivités locales, les aménageurs, les promoteurs, de nombreuses questions émergent pour se préparer à la sobriété foncière et répondre à ces nouvelles obligations :
Jean-Marc Petit, avocat associé, et Séverine Buffet, avocat counsel, animeront cette session en partenariat avec Modaal, le Mardi 9 novembre, de 9h30 à 11h30.
Le séminaire s’adresse
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