Mohamed porte un grand intérêt aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, Il s’intéresse depuis plus de 20 ans aux bibliothèques numériques et il a suivi du près l’évolution de l’offre documentaire juridique.
Avec l’arrivée des start-ups juridiques et le développement des plateformes qui se réclament de l’intelligence artificielle, il développe une expertise autour du phénomène legaltech en France, il a assisté à des événements majeurs dont les rencontres annuelles organisées par le Sénat « le forum parlementaire de la legaltech ». Sur ce sujet, il prépare actuellement une thèse de doctorat portant sur le sujet de « l’information juridique et les plateformes d’intermédiation ». Il a soutenu au préalable son mémoire de Master 2 qui porte sur « la gestion des connaissances juridiques à l’ère du numérique, de l’open data et des legaltechs ». Ce mémoire de fin d’études défriche ce nouveau terrain et tente de comprendre si le droit, qui est constitué de règles et semble être plutôt logique, est en adéquation avec les principes de base de la formalisation des connaissances.
Dans le cadre de ses activités de documentaliste, il participe activement à la réalisation d’offres documentaires en interne et en externe, il est co-rédacteur de la dernière mise à jour du Code des opérations funéraires (Le Moniteur, 1 587 pages).